Parlons de 10 façons de réduire le risque de trouble neurocognitif — et plus encore
Joignez-vous à nous pour une conversation en ligne gratuite sur 10 façons de réduire votre risque de trouble neurocognitif. Nous entendrons également de jeunes scientifiques expliquer comment ils poussent la recherche sur les risques dans de nouvelles directions.
Septembre est le mois mondial de la maladie d'Alzheimer. Cette année, le thème du Mois mondial de la maladie d'Alzheimer porte sur les facteurs de risque de trouble neurocognitif et leur réduction.
Comme l'indique la devise du mois de septembre de l'Alzheimer Disease International : « Il n’est jamais trop tôt, jamais trop tard ». En effet, le moment présent est toujours le meilleur pour passer à l’action afin de réduire votre risque de trouble neurocognitif.
Joignez-vous à nous le 20 septembre à midi (heure de l'Est) pour une conversation informelle en ligne sur la réduction du risque de trouble neurocognitif. Inscrivez-vous maintenant via Zoom.
Ensemble, nous passerons en revue certains des 10 meilleurs moyens de réduire le risque de trouble neurocognitif. (Si vous êtes atteint d’un trouble neurocognitif, ces 10 moyens vous aideront également à améliorer la santé générale de votre cerveau).
Au cours de cette conversation, de jeunes chercheurs canadiens nous parleront également de leurs travaux sur les facteurs de risque de trouble neurocognitif.
Conférenciers confirmés jusqu’à maintenant :
- Dylan Guan, doctorant à l'Université de Calgary, s’intéresse aux techniques permettant de mieux détecter et maîtriser le risque de trouble neurocognitif précoce.
- Rebeca Hernández Gamboa, doctorante à l'Université de Colombie-Britannique, étudie les effets de divers types d'exercices sur les fonctions cognitives.
- Annalise LaPlume, chercheuse postdoctorale à L'Université métropolitaine de Toronto et au Centre de recherche Douglas de l'Université McGill, évalue comment les facteurs liés au mode de vie et les différences entre les sexes influent sur la mémoire et la connectivité cérébrale chez des personnes à risque de trouble neurocognitif.
- Myuri Ruthirakuhan, chercheuse postdoctorale au Sunnybrook Research Institute, s’intéresse aux processus par lesquels les groupes de facteurs de risque cardiovasculaire peuvent exacerber le risque de trouble neurocognitif.
Tous ces conférenciers ont récemment obtenu une bourse du Programme de recherche de la Société Alzheimer. Cette année, près de six millions de dollars ont été distribués à 44 chercheurs de tout le Canada dans le cadre de ce programme porteur d’espoir.
Cette conversation se déroulera en anglais, accompagnée d’une interprétation simultanée en français.
La conversation sera animée par Leah Sandals, rédactrice en chef à la Société Alzheimer du Canada.
Cette conversation se déroulera en anglais, accompagnée d’une interprétation simultanée en français.
Cet événement est présenté dans le cadre de la série mensuelle Dementia Talks ! Canada, réalisée en partenariat entre la Société Alzheimer du Canada et Brain Canada.
Si vous avez des questions ou des commentaires, nous vous invitons à nous envoyer un mot à publications@alzheimer.ca.
Plus de détails sur les conférenciers
Dylan Guan
Dylan Guan poursuit un doctorat sous la direction du Dr Zahinoor Ismail à l'Université de Calgary. Il a obtenu un baccalauréat ès sciences de l'Université de Toronto avec spécialisation en neurosciences, et mineures en psychologie et physiologie. Il est le représentant des membres en formation de l'Alzheimer Association International Society pour l’avancement et la recherche dans le domaine de l’Alzheimer et des syndromes neuropsychiatriques (ISTAART). Il est également lauréat du prix Killam et titulaire d'une bourse de doctorat du Programme de recherche de la Société Alzheimer. Les recherches de M. Guan portent sur les changements dans les manières de penser, d'agir, de voir et de se déplacer en vieillissant, et qui pourraient être des signaux d'alerte d’un trouble neurocognitif. En comprenant mieux ces signaux d'alerte, M. Guan espère améliorer la façon dont nous détectons et traitons les risques de trouble neurocognitif précoce.
Rebeca Hernández Gamboa
Psychologue et spécialiste de l'exercice physique, Rebeca Hernández Gamboa cumule une expérience clinique et universitaire. Ses recherches portent sur la relation entre l'exercice physique et la cognition. Elle poursuit actuellement un doctorat à l'Université de la Colombie-Britannique, sous la direction de la Dre Teresa Liu-Ambrose, et ses recherches portent sur les retombées de diverses formes d'exercice physique sur les capacités cognitives des personnes âgées atteintes d'une déficience cognitive légère. Son engagement communautaire a renforcé sa volonté de mener des recherches qui répondent directement aux besoins des personnes âgées atteintes d’une déficience cognitive ou d’un trouble neurocognitif. L'objectif de Mme Gamboa est de devenir chercheuse indépendante dans le domaine de la santé neurocognitive et de l'indépendance fonctionnelle des personnes âgées. Elle a récemment obtenu une bourse de doctorat du Programme de recherche de la Société Alzheimer.
Dre Annalise LaPlume
La Dre Annalise LaPlume est chercheuse postdoctorale à l'Université Metropolitan de Toronto et au Centre de recherche Douglas de l'Université McGill. Elle étudie la réduction des risques et la prévention de la maladie d'Alzheimer. Elle cherche à comprendre pourquoi les femmes sont plus à risque de développer la maladie d'Alzheimer que les hommes, et comment nous pouvons aider à prévenir les troubles neurocognitifs chez les hommes et les femmes. Ses recherches ont été publiées dans des revues prestigieuses sur les troubles neurocognitifs et ont également été récompensées par plusieurs bourses de recherche, notamment du Programme de recherche de la Société Alzheimer et du Consortium pour l'identification précoce de la maladie d'Alzheimer.
Dre Myuri Ruthirakuhan
La Dre Myuri Ruthirakuhan est chercheuse postdoctorale au Sunnybrook Research Institute à Toronto. La Dre Ruthirakuhan a obtenu son doctorat au département de pharmacologie et de toxicologie de l'Université de Toronto. Certains de ses travaux portent sur des sujets liés aux biomarqueurs de la maladie d'Alzheimer. Récemment, elle a obtenu une bourse du Programme de recherche de la Société Alzheimer pour étudier la manière dont les facteurs de risque cardiovasculaire tels que l'hypertension artérielle, l'hypercholestérolémie et le diabète peuvent augmenter le risque de trouble neurocognitif lorsqu'ils se chevauchent. En outre, elle a obtenu une bourse des Instituts de recherche en santé du Canada pour étudier l'apathie et les niveaux de tau chez les personnes atteintes d'une déficience cognitive légère et de la maladie d'Alzheimer.
Animatrice : Leah Sandals
Leah est rédactrice principale — AEC, Société Alzheimer du Canada. Sa mère a eu une dégénérescence fronto-temporale à la fin de la quarantaine, et ses tantes l’ont eue dans la cinquantaine et la soixantaine. Leah a participé à certaines études de recherches internationales sur les dégénérescences fronto-temporales familiales. Elle a également suivi un conseil génétique et des tests génétiques.
Avant de se joindre à la Société Alzheimer du Canada en 2021, elle a travaillé pendant 20 ans dans le journalisme et l’édition à but non lucratif.